Online drop shipping ou comment faire du e-commerce en partant de zéro stock

 

 

 

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Online drop shipping ou comment gagner des revenus en partant de zéro stock

Alors faisons du drop-shipping

Vous connaissez le système du MLM ou de l’affiliation qui permet de toucher des commissions grâce au marketing sur des produits ou services de platformes sur lesquelles vous en êtes membre actif.

Découvrez le drop-shipping, une méthode de vente en ligne, pas encore développé en France. En quoi consiste cette méthode de vente en ligne. Il s’agit de gagner des revenus en vendant un bien mais sans en disposer en stock et d’autre part sans en avoir à  livrer les commandes sur ce bien.

À la base de cette forme de vente en ligne, vous avez un vendeur qui veut travailler avec un stock nul ou à  flux tendu et un grossiste qui va s’occuper de livrer les biens commandés par le client du vendeur, une fois que le vendeur en question lui aura transmis le contenu de la commande. Le vendeur va réaliser un bénéfice ou plus exactement une marge bénéficiaire égale à  la différence entre son prix de vente et son prix unitaire d’achat en gros .

Le drop-shipping est issue l’organisation et de la gestion de la production industrielle – c’est une méthode dite just-in-time ou encore JIT, qui vise à  minimiser les encours de production et le produit final en stocks, d’où la notion de travailler ou de produire en flux tendu ou la minimisation du temps de stockage des matières, encours et produits finis, durant les différents processus de production jusqu’à la vente du produit final. D’autres terminologies s’appliquent à  ce mode de gestion et d’écoulement de la production – les cinq zéros (zéro panne, zéro délai, zéro papier, zéro stock et zéro défaut) , la livraison directe au client final, la livraison externalisée, travail en flux tendu, le drop-ship, direct dropship , online drop shipping, dropship, blind drop ship

Mise en pratique de la méthode de vente en drop-shipping

Un site internet ou un catalogue sert de base de marketing avec les clients et prospects. En effet vendre des produits avec zéro stock au départ ne doit pas empécher le vendeur de pouvoir présenter les produits qu’il vend. C’est ce qu’il fait via un site internet ou un prospectus et/ou des échantillons pour une présentation en showroom ou à domicile.

Le dropshipper ou vendeur peut réaliser ses activités en y apportant ou non une garantie de services après vente à ces clients avec l’une de ces procédure de vente :

  1. Le fulfillement intégal ou market fulfillment : plateforme logistique de gestion des livraisons et des retours de marchandises. Ce procédé vise la gestion optimale des commandes par sous-traitance avec pour objectif de satisfaire les parties ;
  2. private label shipping  : la commande est expédiée sous label privé du vendeur avec possibilité de retour des produits commandés. Les produits sont personnalisés au logo ou son packaging du vendeur mais la livraison reste exécutée par le grossite. C’est une tendance qui se développe pour certains produits ne nécessitant pas de connaissances particulères comme la personnalisation d ‘objets accessoires ou de vêtements ;
  3. Le blind shipping ou Blind drop ship : la commande est envoyée sans possibilité de retourner la marchandise.

Vous voulez  gagner des revenus avec le drop-shipping en travaillant à flux tendu ?

Vous devez disposer d’un site internet, afin de présenter les produits que vous vendez. Le grossiste vous apporte des documents pour cette présentation : photos, descriptifs… et vous indique des prix de vente conseillés – mais vous rester libre de le déterminer sans toutefois exagérer, au risque de nuire à  votre commerce.
Auprès de chaque grossiste qui vous fournit des produits, vous allez disposer d’une zone membre pour gérer les commandes de vos clients : transmettre toutes les données relatives aux commades clients à  votre grossite et régler celui-ci du prix d’achat en gros, avant livraison de ses commandes clients. Les clients qui ont passé commande sur votre boutique vous ont réglé à  l’avance et vous disposez alors d’un volant de trésorerie pour régler votre prix de gros. Avec cette méthode de vente, vous pouvez développer un e-commerce sans un investissement de départ, sauf le site internet si vous n’en disposez pas. Mais il existe des solutions d’hébergement peu couteux ou de sites e-commerce gratuits à  installer chez votre hébergeurs ( reste à  vous de vérifier les différents technologies serveurs et langages supportés par l’hebergeur). Mais voici deux sites qui offrent d’excellents services aux webcommerçants – débutants ou confirmés qui veulent travailler avec professionnalisme.

Des outils essentiels pour bien démarrer et développer votre commerce en ligne
Avec votre hébergement :

  1. nom de domaine
  2. WebMail et Filtres de courriel, Liste de diffusion
  3. Extension FrontPage
  4. Accès FTP
  5. Statistiques
  6. Espace web SSL
  7. PHP 5, CGI, Perl, Gestion de sauvegardes, Gestionnaire HTAccess
  8. Bases de données : MySQL

 

Tout le monde peut-il faire du drop-shipping ?

Un webcommerçant qui a déjà  sa boutique en ligne peut tout à  fait élargir son offre en ajoutant des gammes de produits sans côut supplémentaire et sans gestion des expéditions. Mais un vendeur peut aussi proposer à  certaines dates, donc ponctuellement – Noel, Nouvel an, Mondial de football… – des produits en drop-shipping.

Quels avantages offre le drop-shipping ou direct dropship ?

  1. Un des avantages certain est que le vendeur n’a pas à disposer de trésorerie à la gestion d’un stock, puisqu’il n’y a pas de stockage de produits, il y a livraison directe au client final par conséquent zéro stock.
  2. La livraison n’incombe pas au vendeur mais à  son grossiste, la livraison externalisée;
  3. Le vendeur peut disposer de gammes de produits auprès d’un ou de plusieurs grossiste(s) ;
  4. L’investissement financier est minimal : un site e-commerce fonctionnel et sécurisé autrement dit un hébergement professionnel avec un nom de domaine ;
  5. Le vendeur détermine lui-même sa marge bénéficiaire donc son prix de vente ;
  6. Le service après vente peut ne pas exister mais ce pourait être faire défaut à la relation clientèle.

Quels sont les risques du Online drop shipping ?

Le back ordering : Le vendeur propose un produit qui a disparu des stocks du grossiste, le grossiste se doit d’informer ses clients, à  l’avance, afin qu’ils puissent anticiper ces sorties de produits du catalogue du grossiste et mettre à  jour son propre catalogue d’offre ; La reglementation de la vente en ligne Avec le développement du commerce en ligne, la loi a renforcée la protection des cyberacheurs. Ainsi la directive 2000/31/CE du Parlement européen et du Conseil sur certains aspects juridiques des services de la société de l’information, et du commerce électronique dans le marché intérieur a été transposée en droit français en 2004, avec la loi pour la confiance dans l’économie numérique. Pour plus d’informations sur la législation :

Ainsi, le webcommerçant est soumis aux mêmes obligations que les entreprises de VPC. Ce qui l’oblige notamment à mettre en évidence sur sa boutique :

Son identité et ses coordonnées ( adresse postal, couriel, téléphone…) ;

Les modalités de payement et les conditions générales de ventes (dont droit de rétractation du client, les délais de livraison…)

drop shipping, livraison directe au client final, livraison externalisée, zéro stock, travail en flux tendu, dropship, blind drop ship, direct dropship , online drop shipping, …

 

Plutôt le premier que le meilleur ou droit du premier occupant – Loi N° 1 – Suite

Plutôt le premier que le meilleur…

Plutôt le premier que le meilleur… dans sa catégorie ou sous-catégorie

La perception du consommateur, outil de positionnement de l’entreprise, de ses produits ou services

L’utilisation des noms de marques comme mots-clefs et risques de concurrence déloyale

Jules César disait : je préfère être le premier ici que le deuxième à Rome ou J’aimerais mieux être le premier dans un village, que le second à Rome Qu’est-ce qu’être le premier ?  Le premier est Celui ou celle qui précède dans le temps, l’espace ou bien dans une classification: et être le meilleur ? C’est avoir le plus haut degré de qualité, ce superlatif a comme synonymes : supérieur, excellent, fleuron, élite, nec plus ultra, la crème des crèmes, …

Ce qui nous conduit à nous demander pourquoi le meilleur n’est-t-il pas forcement le premier.

Que devons-nous comprendre de cette première des 22 lois immuables du marketing : Plutôt le premier que le meilleur ?

Toute entreprise vise à offrir des biens ou services qui correspondent à l’attente des consommateurs. Et comment rencontrer le consommateur que sinon en appliquant les différentes techniques et outils marketing afin de réaliser des offres de produits et services qui prennent en compte le comportement des consommateurs ( à partir de prototypes, de sondages ou questionnaires…) dans le but de se constituer des catégories de consommateurs prêts à acheter leurs biens ou services. Le marketing ou mercatique ne se limite cependant pas à ce que veut ou exprime vouloir le consommateur mais va au-delà, en lui suscitant des besoins dès lors que l’analyse de son comportement tend à démontrer qu’il constitue un prospect fortement susceptible de devenir un client fidèle et participera donc au développement de l’organisation. Le marketing implique l’existence de moyens humains et financiers qui puissent prendre en compte l’ensemble des facteurs externes à l’entreprises tels que la concurrence mais aussi sociologiques et démographiques.

Comment les entreprises qui arrivent à transformer une idée en un produits ou services vont-t-elles se positionner sur le marché ? Leur marketing vise à donner à l’entreprise qu’elle place par rapport à la concurrence – si elle n’existe pas elle ne saurait tarder – dans l’esprit du public ou d’une catégorie de consommateurs ? Autrement dit, comment faire en sorte que le produit ou le service que l’entreprise propose soit mieux perçu par le consommateur que ceux des concurrents ?

Si vous n’êtes pas premier de votre catégorie créez en une nouvelle où vous serez le premier

Vous est-il déjà arriver de chercher des idées de création d’entreprise, si oui, vous avez pu vous rendre compte que ce ne sont pas les idées qui manquent – simples, ingénieuses, loufoques (mais pourquoi par ailleurs) – Alors où se situe le problème? Mais l’argent bien sûr ! Vous ne pouvez commercialiser des idées, il faut que l’idée prenne forme, qu’elle se concretise en produit ou service. Partant de ce constat, l’entrepreneur se doit de << lever >> des fonds pour réaliser son idée car sans moyens financiers et humains votre idée ne vaudra jamais rien. Votre idée doit être pour vous un moyen pour lever les fameux fonds indispensables – Idée + Business Plan + Recherche de financement – Ce n’est pas un élément de marketing ! Votre idée doit répondre à une demande existante sur le marché et de préférence, une demande qui ne trouve pas d’offre ou peu ou bien la demande reste forte quelque soit le nombre d’offreurs – mais cela ne signifie pas que tous vont se pérenniser – D’où l’intérêt d’une idée neuve, d’une catégorie nouvelle, ciblant une catégorie de consommateurs ce qui favorisera dans un premier temps le développement de l’entreprise sur un marché ciblé par avance (une étude de marché permet de visualiser l’étendue du marché et les sous-catégories qui peuvent être créées, de connaître le niveau de la concurrence,…).

L’analyse de la perception du consommateur comme outil de positionnement dans l’esprit du public?

Mais être le premier, pourquoi ?

Mais développer et pérenniser son entreprise implique de viser haut – la première place – de chercher à être devant les concurrents quelque soit l’état des autres élément de l’environnement de l’entreprise. Et puisque le monde entreprenarial est convaincu – et à juste titre – de la puissance du marketing dans la vie de l’entreprise, dans ces conditions comment y aller avec le dos de la cuillère : le marketing de réseau, les buzzs, le marketing viral… en sont l’illustration parfaite. il en résulte par conséquent que mieux vaut être premier que le meilleur .

Quels outils marketing utiliser sinon ceux qui vont nous permettre de savoir vous positionner comme étant les premiers aux yeux du consommateur ( selon sa perception). Le marketing de l’entreprise va donc se baser sur la perception du consommateur de ces produits ou services et de ceux de ses concurrents. Autrement dit : comment le consommateur perçoit par l’intermédiaire de ses sens ou d’idéologies individuelles ou collectives dans lesquelles ils se reconnait, les informations relatives à un produit ou service, qui lui parviennent et comment il va sélectionner, organiser et interpréter ces informations afin de n’en retenir qu’une. Il en résulte que ce qui est le plus important ce n’est pas tant le produit ou le service mais la perception qu’en a du consommateur.

Il est par conséquent indispensable de marquer l’esprit du consommateur par un mot (Orange, Channel N° 5, Windows), une expression ou slogan (Adidas : Forever sports. – La victoire est en nous – On y va pour gagner, Barbara Gould :  Des femmes qu’on n’oublie pas, Bio : Actif à l’intérieur et ça se voit à l’extérieur – Avec mon Bio chaque jour je reste active – Au bifidus actif – Renouveller son corps de l’intérieur, Quick : Nous, c’est le goût…) ; tout en sachant que deux marques ne peuvent utiliser le même mot pour se positionner dans l’esprit des consommateur. Mais le droit des entreprises sur leurs noms de marques n’est plus absolu.

La stratégie des mots-clefs – noms de marques

Depuis le 14 Septembre 2010, il est possible, à tout un chacun du monde de l’entreprise, d’acheter le nom d’une marque comme mot-clef dans le cadre de la recherche via les moteurs de recherche. En effet suite à une décision de la CJUE (Cour de justice de l’Union européenne) :

Si une marque a été utilisée en tant que mot-clé, le titulaire de celle-ci ne peut pas invoquer le droit exclusif qu’il tire de sa marque contre Google – CJUE

Google a décidé d’appliquer cette politique partout en Europe et en France comme c’est déjà le cas aux Etats-Unis et au Royaume Uni. Le prestataire de services marketing sur internet ou de référencement peut considérer l’utilisation de noms de marques en tant que mots-clefs, sans droit exclusif pour les ayants droits sur ces mots-clefs. L’arrêt de la CJUE indique qu’il n’y a pas d’infraction aux droits des propriétaires de la marque.

Un risque de concurrence déloyale ou de parasitisme est né d’autant que l’utilisation du nom de la marque entre dans la stratégie de développement de l’entreprise, de son image. De là une entreprise concurrente mais peu performante ou étranger au domaine d’activité de la marque – dont la position est convoitée – peut en utilisant ce nom de marque se positionner très près (en deuxième, troisième position…) de l’entreprise dont le nom de marque est utilisé comme mot-clef, dans les résultats de recherche des moteurs. En effet, ces nom de marque ont le meilleur CTR – Clic Through Rate ou taux de conversion par clics autrement dit le pourcentage de conversion (Nombre d’Affichages/Nombre de clics) des annonces publicitaires sur internet. Ce taux peut, dans le cas de l’utilisation du nom de marque comme mot-clef, atteindre 30% ; le taux de conversion est donc le plus élevé ( importance de la marque dans la perception du consommateur). Mais le Pay Per Clic ou CPC – Coût Par Clic est une méthode de règlement des coûts publicitaires en fonction du nombre de clics par opposition au règlement en fonction du nombre de visualisations de l’annonce – était le plus bas avant cette nouvelle politique de Google.

Ces liens sponsorisés indique l’importance du positionnement de l’entreprise, dans le résultat des moteurs de recherche. Cependant, la perception positive qu’a le consommateur de l’entreprise, de ses produits ou services est-elle liées de manière incontestable à ce positionnement ? Les autres sources de trafic sont-elles négligeables dans le processus de sélection d’une entreprise parmi d’autres concurrentes – réseaux sociaux, annonces gratuites, référencement et SEO…? La loi N° 7 dit : Vous devez adapter votre stratégie à la position que vous occupez sur l’échelle mentale des clients. Ce qui signifie qu’une fois élue par les consommateurs l’entreprise n’a plus de droit à l’erreur, sa stratégie marketing doit viser sa place dans l’echelle mentale des consommateurs voire le niveau supérieur…

À retenir pour vos plans de bataille marketing :

  1. Plutôt le premier que le meilleur
  2. Si vous n’êtes pas premier de votre catégorie créez en une nouvelle où vous serez le premier
  3. Ce qui compte c’est d’être le premier dans l’esprit des clients
  4. Le marketing n’est pas une bataille de produits, mais de perception
  5. L’approche la plus efficace est de s’approprier un mot dans l’esprit du client
  6. Deux marques ne peuvent prétendre au même mot dans l’esprit des clients
  7. Vous devez adapter votre stratégie à la position que vous occupez sur l’échelle mentale des clients

Mélanie

À votre succès !!!

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